Zaho au Cameroun – reportage d’une globe bloggueuse
Hello!
Avec plusieurs billets relatifs aux événements de la semaine dernière au Cameroun dans les placards (fête de la jeunesse, fête de la Saint-Valentin, fête de je ne sais quoi…), j’ai préféré vous faire un compte rendu du séjour de Zaho en terre camerounaise en ce début de semaine. Du moins, ce que j’ai vécu et couvert, en dépit de la sécurité de m**** de l’organisateur qui a choisi piétiner les « reporters sans média fixe » et privilégier les enfants et proches des partenaires. Un jour, un jour. Dieu ne dort. Mais revenons à l’essentiel.
La première rencontre se déroule à l’Institut Français de Douala. A l’occasion de la conférence de presse donnée par les organisateurs. Zaho y répond aux questions posées par les Hommes de médias.
Je n’en avais pas. J’ai donc attendu l’ A capela. Et je n’ai pas été déçue.
Le rendez-vous était pris pour le 15 à Yaoundé (au Palais des Sports) et le 16 à Douala, au Parcours Vita. J’ai dit « HA* » à Yaoundé. Hier, j’ai fait le déplacement pour le Parcours Vita ( je crois qu’il est temps de publier le billet concernant ce lieu).
A l’extérieur, de nombreux jeunes venus partager des moments privilégiés.
A l’intérieur, les derniers réglages.
Puis vient l’heure du spectacle. Des premières parties inconnues…
Aux futures stars…
En passant par les anciennes gloires…
Et autres réalisateurs de courts métrages dont Thierry Ntamack, l’auteur du « Blanc d’Eyenga ».
Le public était en condition pour recevoir le reine de la soirée : Zaho
Qui n’en demandait pas plus pour faire vibrer les décibels.
Vidéos coming soon. Dès que la connexion tiers mondiste le permettra.
Shalom!
* »Ha » : Camerounisme utilisé pour désigner le non intérêt à un événement (le cas présent).
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